Citations…
Harry Potter à l’École des Sorciers
- Dumbledore : – Je confierais ma propre vie à Hagrid. (ES1)
- À Dumbledore : […] La maison était presque entièrement détruite mais je me suis débrouillé pour le sortir de là avant que les Moldus commencent à rappliquer. Il s’est endormi quand on a survolé Bristol. (ES1)
- – Ah, ça suffit Dursley, espèce de vieux pruneau ! (ES4)
- – Je vais vous transformer en pâté, tous les deux, lança Hagrid. Harry… tu es un sorcier. (ES4)
- […] Tu ne t’es jamais demandé d’où te venait la cicatrice que tu as sur le front ? Ce n’est pas une blessure ordinaire. C’est la trace du mauvais sort qu’il a lancé contre toi, un mauvais sort si puissant qu’il a détruit tes parents et leur maison. Mais avec toi, ça n’a pas marché, et c’est pour cette raison que tu es célèbre. (ES4)
- À Harry : […] Certains disent qu’il est morts. A mon avis, ce sont des calembredaines. Je ne crois pas qu’il ait eu en lui quelque chose de suffisamment humain pour mourir. (ES4)
- – Les première année, par ici. Suivez-moi. (ES6)
- – Oui, dit Hagrid, mais est-ce que tu as vu quelque chose, Ronan ? Quelque chose d’inhabituel ?
– On voit bien Mars, ce soir, répéta Ronan. Il est beaucoup plus brillant que d’habitude.
– Je te demandais si tu avais vu quelque chose plus près d’ici… (ES15)
Harry Potter et la Chambre des Secrets
- Harry le regarda d’un air surpris : cela ne lui ressemblait pas de critiquer un professeur de Poudlard. (CS7)Harry, Ron et Hermione savaient depuis toujours que Hagrid avait malheureusement un faible pour les créatures géantes et monstrueuses. (CS14)
- – Mon cher Hagrid, dit Mr Malefoy, votre caractère emporté vous attirera un jour de sérieux ennuis. (CS14)
Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban
- […] Dieu sait que vous avez eu suffisamment à faire. J’ai vu les séances d’entraînement de Quidditch, jour et nuit… Mais ce que je voulais vous dire, c’est que je croyais l’amitié plus importante pour vous qu’un balai ou un rat, voilà tout. (PA14)
- – Parfois, les gens sont un peu stupides avec leurs animaux, dit Hagrid avec sagesse.
Derrière lui, Buck recracha quelques os de musaraigne sur l’oreiller. (PA14) - Draco parlant de Hagrid : – Regarde-le pleurnicher ! Jamais vu un type aussi lamentable, dit Malefoy. Et il est censé être professeur dans cette école !
Harry et Ron s’avancèrent vers lui d’un air menaçant, mais Hermione fut la plus rapide.
CLAC !
De toutes ses forces, elle gifla Malefoy qui vacilla sous le choc. Harry, Ron, Crabbe, et Goyle regardèrent Hermione lever à nouveau la main.
– Hermione ! dit Ron à voix basse en essayant de lui attraper la main avant qu’elle ne gifle à nouveau Malefoy.
– Laisse-moi, Ron !
Hermione sortit sa baguette magique. Malefoy recula d’un pas tandis que Crabbe et Goyle le regardaient, décontenancés, attendant ses instructions.
– Venez, marmonna Malefoy.
Un instant plus tard, tous trois avaient disparu dans les sous-sols du château. (PA15)
Harry Potter et la Coupe de Feu
- – Moi, c’était ma mère, dit Hagrid en baissant la voix. Elle était l’une des dernières de Grande-Bretagne. Bien sûr, je ne me souviens pas très bien d’elle… Elle est partie, vous comprenez ? Quand j’avais environ trois ans. Elle n’était pas vraiment du genre maternel. Il faut dire que ce n’est pas dans leur nature. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue… Elle est peut-être morte…
[…] – Mon père a eu le coeur brisé quand elle partie. Il était tout petit, mon père. A six ans, j’arrivais à le soulever et à l’asseoir sur le buffet de la cuisine quand il m’énervait. Ca le faisait rire…
La voix grave de Hagrid se brisa.
– C’est papa qui m’a élevé… Mais il est mort juste après mon entrée à Poudlard. Alors, j’ai dû me débrouiller tout seul. Dumbledore m’a bien aidé. Il a été très gentil avec moi… (CF23) - Hagrid se leva et alla ouvrir un tiroir de sa commode d’où il sortit la photo d’un petit sorcier qui avait les mêmes yeux noirs que Hagrid, avec les mêmes petites rides au coin des paupières. Un grand sourire aux lèvres, il était assis sur l’épaule de son fils. Hagrid devait déjà faire près de deux mètres cinquante, à en juger par le pommier qui se trouvait derrière lui mais son visage était jeune, rond, lisse, imberbe – il ne semblait pas avoir plus de onze ans. (CF24)
- – Elle a été prise juste après mon entrée à Poudlard, dit Hagrid d’une voix caverneuse. Papa était fou de joie… Il avait peur que je ne sois jamais sorcier, parce que ma mère… enfin bon… Oh, bien sur je n’ai jamais été très doué pour la magie… Mais au moins, il n’a pas vécu assez vieux pour me voir renvoyé. Il est mort quand j’étais en deuxième année…
C’est Dumbledore qui s’est occupé de moi quand mon père n’était plus là. Il m’a trouvé ce travail de garde-chasse… Il fait confiance aux gens, Dumbledore… Il leur donne une deuxième chance… C’est pour ça qu’il est différent des autres directeurs. Il est prêt à accepter n’importe qui à Poudlard, du moment qu’on est capable de faire quelque chose. Il sait qu’on peut être quelqu’un de bien, même si on vient d’une famille qui n’est pas… disons… très respectable. Mais il y en a qui ne comprennent pas ça. Ceux qui vous en veulent toujours… Et puis il y a aussi ceux qui essayent de faire croire qu’ils ont simplement de gros os au lieu d’avoir le courage de dire : “je suis ce que je suis et je n’en ai pas honte”. (CF24) - – tu sais quoi, Harry ? poursuivit-il en levant les yeux de la photo de son père, le regard brillant. Quand je t’ai vu pour la première fois, tu m’as fait un peu penser à moi. Plus de mère, plus de père et l’impression que tu n’arriverais à t’adapter à Poudlard, tu te souviens ? Tu n’étais pas sûr d’être à la hauteur… Et maintenant, regarde-toi, Harry ! Tu es champion de l’école (CF24)
- – En tous cas, c’est le plan de Dumbledore. Tant qu’il est là, je ne me fais pas trop de soucis. (CF37)
- – Ca ne sert à rien de rester là à s’inquiéter, dit-il. Il arrivera ce qui arrivera et il faudra se préparer à l’affronter. (CF37)
Harry Potter et l’Ordre du Phénix
- – Hagrid ? dit Hermione à voix basse après un moment de silence.
– Mmmm ?
– Est-ce que… Vous avez trouvé trace de… vous avez entendu quelque chose au sujet de… de votre… mère, quand vous étiez là-bas ?
Lorsque l’oeil valide de Hagrid se posa sur elle, Hermione parut un peu effrayée.
– Je suis désolée… Je… N’en parlons plus…
– Morte, grogna Hagrid. Elle est morte il y a des années. Ils me l’ont dit.
– Oh… je… Je suis vraiment navrée, dit Hermione d’une toute petite voix.
Hagrid haussa ses épaules massives.
– Pas de quoi, dit-il d’un ton abrupt. Me souviens pas beaucoup d’elle. Pas formidable, comme mère. (OP20) - – Ils n’arrêtaient pas de le brutaliser, Hermione, dit Hagrid. Il est si petit !
– Petit ? répéta Hermione. Petit ?
– Je ne pouvais pas l’abandonner…, gémit Hagrid.
Des larmes coulaient à présent sur son visage meurtri et disparaissaient dans sa barbe.
– Tu comprends, c’est mon frère ! (OP30)