Citations…
Harry Potter à l’École des Sorciers
- – Hé, Fred, viens nous donner un coup de main. (ES6)
– Qu’est-ce que c’est que ça ? demanda soudain l’un des jumeaux en montrant la cicatrice en forme d’éclair.
– Ça alors ! s’exclama l’autre frère, ce ne serait pas…
– Si, c’est sûrement lui, dit le premier jumeau. C’est bien ça ? ajouta-t-il à l’adresse de Harry.
– Quoi ? demanda celui-ci.
– Harry Potter, dirent en choeur les deux frères.
– Oui, oui, c’est lui, répondit Harry. Enfin, je veux dire… c’est moi. (ES6) - – Tu es préfet, Percy ? dit l’un de jumeaux avec surprise. Tu aurais dû nous prévenir, on n’en savait rien.
– Attends, je crois bien qu’il nous en a soufflé un mot, une fois, dit l’autre jumeau.
– Peut-être même deux fois.
– Maintenant que tu me le rappelles, je crois même qu’il nous en a parlé pendant une minute entière.
– Et même pendant tout l’été, bien y réfléchir…
– Ça suffit, dit Percy le préfet. (ES6) - – Vous deux, vous allez être sages, cette année ! lança-t-elle. Si jamais je reçois un hibou qui me dit que vous avez fait exploser les toilettes…
– Faire exploser les toilettes ? On n’a jamais fait ça.
– Mais c’est une bonne idée. Merci, M’man !
– Et occupez-vous bien de Ron.
– Ne t’en fais pas, le petit Ron à sa maman n’aura rien à craindre avec nous.
– Ça suffit, dit Ron.
[…] – T’en fais pas [Ginny], lui dit l’un des jumeaux par la fenêtre verte. On t’enverra plein de hiboux.
– Et un siège de toilettes de Poudlard, ajouta son frère.
– George ! (ES6) - – C’est vrai que tu es Harry Potter ? demanda brusquement Ron.
Harry confirma d’un signe de tête.
– Je m’étais dit que c’était peut-être une blague de Fred ou George. (ES6) - Ron : – Fred et George font pas mal de bêtises, poursuivit Ron, mais ils ont de bonnes notes et tout le monde les trouve très drôles […] (ES6)
- Harry vient d’être envoyé à Gryffondor : Percy le Préfet se leva et lui serra vigoureusement la main tandis que les jumeaux Weasley scandaient :
– Potter avec nous ! Potter avec nous ! (ES7) - Tout le monde termina la chanson à des moments différents. Les jumeaux Weasley furent les derniers à chanter, au rythme de la marche funèbre qu’ils avaient choisie. Dumbledore marqua la cadence avec sa baguette magique et lorsqu’ils eurent terminé, il fut l’un de ceux qui applaudirent le plus fort.
– Ah, la musique, dit-il en s’essuyant les yeux. Elle est plus magique que tout ce que nous pourrons jamais faire dans cette école. (ES7) - – Cette année, on gagne la coupe, c’est sûr, dit Fred. On n’avait plus jamais gagné depuis le départ de Charlie, mais cette fois, on a une équipe formidable. Tu dois être vraiment très bon, Harry ! Dubois en sautait de joie.
– Il faut qu’on y aille, dit George. Il paraît que Lee Jordan a trouvé un nouveau passage secret pour sortir de l’école.
– Je parie que c’est celui qui se trouve derrière la statue de Gregory le Hautain. On l’avait déjà repéré dès la première semaine. A tout à l’heure. (ES9) - Dubois : […] Nous y voilà.
– Le grand jour est arrivé, dit Fred Weasley.
– Celui que nous attendions tous, ajouta George.
– On connaît le discours d’Olivier par coeur, dit Fred à Harry. On était déjà dans l’équipe l’année dernière. (ES11) - – Joyeux Noël !
– Hé, regarde ! Harry aussi a eu un pull Weasley !
– Fred et George étaient vêtus chacun d’un pull-over bleu dont l’un portait un grand « F » sur la poitrine et l’autre un « G ».
– Celui de Harry est plus beau que les nôtres, dit Fred en examinant le pull qu’il avait reçu. Apparemment, elle fait davantage d’efforts quand on n’est pas de la famille.
– Pourquoi n’as-tu pas mis le tien, Ron ? demanda George. Vas-y, mets-le, tu verras, c’est très agréable.
– J’ai horreur du violet, marmonna Ron en le mettant quand même.
– Au moins, il n’y a pas de lettre sur le tien, fît remarquer George. Elle doit penser que tu n’oublies pas ton nom. Mais nous non plus, on n’est pas idiots, on sait très bien qu’on s’appelle Gred et Forge.
[…] – P comme Préfet ! Mets-le, Percy, nous, on les a déjà mis. Même Harry en a reçu un.
– Je-ne-veux-pas-le mettre, protesta Percy tandis que les jumeaux l’obligeaient à enfiler le pull en faisant à moitié tomber ses lunettes.
– Tu n’es pas avec les préfets, aujourd’hui, dit George. Noël, c’est une fête de famille.
Ils traînèrent alors Percy hors de la pièce, les bras immobilisés par le pull. (ES12)
Harry Potter et la Chambre des Secrets
- La fenêtre de Harry est munie de barreaux : – Mais toi non plus, tu n’as pas le droit de me délivrer par une formule magique…
– On n’en aura pas besoin, assura Ron en montrant ses deux frères d’un signe de tête. Tu oublies qui m’accompagne !
– Attache ça aux barreaux, dit Fred qui lança à Harry l’extrémité d’une corde. (CS3) - Fred et George se glissèrent alors avec précaution par la fenêtre de la chambre. Il valait mieux les laisser faire, pensa Harry en voyant George sortir de sa poche une simple épingle à cheveux avec laquelle il entreprit de forcer la serrure.
– Les sorciers pensent que c’est une perte de temps d’apprendre les astuces des Moldus, dit Fred, mais ils ont des techniques qui valent la peine d’être connues, même si elles sont un peu lentes. (CS3) - Harry parle de Dobby aux jumeaux : – Vraiment louche, tout ça, dit enfin Ron.
– Tout ce qu’il y a de plus bizarre, approuva George. Il ne t’a même pas dit qui est derrière ce complot ? (CS3) - Les elfes de maison ont de grands pouvoirs magiques, répondit Fred, mais d’habitude, ils n’ont pas le droit de s’en servir sans l’autorisation de leurs maîtres. J’imagine que Dobby a été envoyé par quelqu’un pour essayer de t’empêcher de revenir à Poudlard. Quelqu’un qui voulait te faire une mauvaise farce. Tu ne vois pas qui pourrait t’en vouloir, l’école ? (CS3)
- – En tout cas, les maîtres de Dobby appartiennent sûrement à une vieille famille de sorciers et ils doivent être riches, dit Fred.
– Maman a toujours eu envie d’avoir un elfe de maison pour s’occuper du repassage, dit George. Mais tout ce qu’on a, c’est une vieille goule pouilleuse dans le grenier et des gnomes qui envahissent le jardin. Les elfes de maison, on les trouve dans les vieux manoirs ou les châteaux, aucune chance d’en voir un chez nous…
(CS3) - La Ford Anglia atterrit au Terrier : – Atterrissage ! annonça Fred.
Ils touchèrent le sol avec un léger soubresaut… (CS3) - – Maintenant, on va monter là-haut sans faire de bruit, dit Fred, et on attendra que Maman nous appelle pour le petit déjeuner. A ce moment-là, Ron, tu te précipites dans la cuisine en criant : « Maman, regarde qui est arrivé cette nuit ! » Elle sera ravie de voir Harry et personne ne saura jamais qu’on a emprunté la voiture. (CS3)
- Mrs Weasley traversa la cour à grands pas, provoquant la panique parmi les poulets. La petite femme replète au visage bienveillant semblait s’être brusquement transformée en une tigresse redoutable.
– Aïe ! dit Fred.
– Hou, là, là, dit George. (CS3) - – Le préfet Percy… marmonna Fred.
– TOI, TU FERAIS BIEN DE T’INSPIRER DE PERCY UN PEU PLUS SOUVENT ! s’écria Mrs Weasley en enfonçant l’index dans la poitrine de Fred. (CS3) - – Elle veut ton autographe, Harry, dit Fred avec un sourire.
Il croisa alors le regard de sa mère et baissa la tête sans ajouter un mot. (CS3) - George :– M’man, on sait très bien dégnomer un jardin. (CS3)
- A propos de Lockhart :– M’man a un faible pour lui, dit Fred dans un murmure parfaitement audible pour tout le monde. (CS3)
- – Ils ne sont pas très malins, dit George qui en avait attrapé cinq ou six d’un coup. Dès qu’il s’aperçoivent que le dégnomage a commencé, ils sortent de leurs trous pour regarder ce qui se passe. Depuis le temps, on pensait qu’ils auraient appris à se cacher.
- Une discipline ferme selon Arthur :– Vraiment, vous l’avez fait voler ? dit Mr Weasley, très intéressé. Et elle a bien marché ? (CS3)
- Fred :– Toi aussi, tu dois acheter tous les livres de Lockhart ! dit-il. Le nouveau prof de défense contre les forces du Mal doit être un de ses fans. C’est sûrement une sorcière. (CS4)
- – J’aimerais bien savoir ce qu’il fabrique, dit Fred en fronçant les sourcils. Je ne le reconnais plus. Les résultats de ses examens lui ont été envoyés la veille de ton arrivée. Il a obtenu douze B.U.S.E. et il s’en est à peine vanté.
[…] George à Ron : […] Si on n’y prend pas garde, on va avoir un autre préfet-en-chef dans la famille. Je crois que je ne survivrai pas à cette infamie. (CS4) - – Où est-ce que tu t’es retrouvé ? demanda Ron.
– Dans l’Allée des Embrumes, répondit Harry d’un air sombre.
– Formidable ! s’exclamèrent Fred et George d’une même voix. (CS4) - À l’entraînement de Quidditch : Fred Weasley laissa tomber sa tête sur l’épaule d’Alicia et se mit à ronfler. (CS7)
- – Oui, dit George qui venait de se réveiller en sursaut. Pourquoi tu ne nous as pas raconté tout ça hier avant qu’on aille se coucher ? (CS7)
- – Et les Serpentard n’ont pas besoin d’espion, dit George.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ? répliqua Dubois avec mauvaise humeur.
– Ils sont là en personne, répondit George en montrant du doigt un groupe d’élèves […] (CS7) - Hermione :-Au moins, aucun joueur de Gryffondor n’a payé pour faire partie de l’équipe, dit sèchement Hermione. C’est pour leur talent qu’on les a choisis. (CS7)
- – Quelqu’un a trafiqué ce Cognard, grommela Fred en brandissant sa batte pour l’éloigner à nouveau. (CS10)
- Harry : […] Alors, occupez-vous des autres joueurs, je me charge du Cognard fou.
– Ne sois pas idiot, dit Fred, il va t’arracher la tête. (CS10) - – C’est entièrement ta faute, dit Fred à Olivier. « Saisis-toi du Vif d’or, donne ta vie pour ça, si c’est nécessaire. » Quelle idiotie de dire des choses pareilles ! (CS10)
- Harry est suspecté d’être l’héritier de Serpentard : Fred et George étaient les seuls à trouver la situation très drôle. Souvent, ils s’amusaient à précéder Harry lorsqu’il marchait dans les couloirs, en criant : « Faites place à l’héritier de Serpentard ! Attention, sorcier très dangereux ! »
Percy, bien sûr, désapprouvait fermement leur conduite.
– Ce n’est pas un sujet de plaisanterie, disait-il avec froideur.
– Dégage, Percy, répliquait Fred. Harry est pressé.
– Il doit se rendre dans la Chambre des Secrets pour y prendre le thé avec son serpent préféré, ajoutait George. (CS12) - Percy, qui n’avait pas remarqué que Fred avait ensorcelé son badge de Préfet sur lequel on pouvait lire à présent “Benêt”, ne cessait de leur demander ce qui les faisait ricaner. (CS12)
- – Ah, oui, c’est vrai, répondit Ginny en riant. Eh bien… Percy a une petite amie.
– Quoi ? s’exclama Fred en laissant tomber une pile de livres sur la tête de George.
[…] Vous n’allez pas vous moquer de lui, hein ? ajouta-t-elle d’un ton inquiet.
– Jamais de la vie, assura Fred qui semblait aussi heureux que si on venait de lui annoncer que la date de son anniversaire avait été avancée
– Certainement pas, dit George en ricanant. (CS18)
Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban
- – Harry ! lança Fred en écartant Percy d’un coup de coude et en s’inclinant profondément. C’est fabuleux de te voir, mon vieux…
– C’est même magnifique, ajouta George en poussant Fred et en serrant à son tour la main de Harry. Absolument épatant.
Percy fronça les sourcils. (PA4) - – Et pourquoi est-ce qu’il faudrait être préfet ? s’indigna George que l’idée semblait révolter. La vie ne serait plus drôle du tout.
- George : – On a essayé de l’enfermer dans une pyramide, dit-il à Harry, mais Maman nous a vus. (PA4)
- – Le ministère va nous envoyer deux voitures, répondit Mr Weasley.
Tout le monde se tourna vers lui.
– Comment ça se fait ? s’étonna Percy.
– C’est à cause de toi, Perce, dit George le plus sérieusement du monde. Ils vont même mettre des petits drapeaux sur le capot avec les lettres P-e-C brodées dessus…
– Ça veut dire Prétentieux-et-Crâneur, ajouta Fred.
Tout le monde pouffa de rire, sauf Percy et Mrs Weasley. (PA4) - […] il [Harry] fut interrompu par Fred et George qui étaient venus féliciter Ron d’avoir rendu Percy à nouveau furieux. (PA5)
- – Ou alors, on demandera à Fred et George, ils connaissent tous les passages secrets qui permettent de sortir du château… (PA5)
- George leva les yeux et vit Malefoy qui faisait à nouveau semblant de s’évanouir de terreur.
– Ce petit crétin, dit-il d’une voix calme. Il était beaucoup moins fier, hier soir, quand les Détraqueurs sont venus fouiller notre compartiment, tu te souviens, Fred ?
– Il a failli faire pipi dans sa culotte, dit Fred en jetant à Malefoy un regard de mépris.
– Je n’étais pas très à l’aise non plus, dit George. Ils sont vraiment horribles…
– On dirait qu’ils te gèlent les entrailles, tu ne trouves pas ? dit Fred.
– Mais toi, tu ne t’es pas évanoui ? demanda Harry à voix basse.
– Laisse tomber, Harry, dit George en essayant de le réconforter. Un jour, Papa a été obligé d’aller à Azkaban, tu te souviens, Fred ? Il nous a raconté que c’était l’endroit le plus effrayant qu’il ait jamais vu. Il en tremblait encore quand il est revenu… Ces Détraqueurs ont le chic pour désespérer tout le monde. La plupart des prisonniers deviennent fous, là-bas. (PA6) - – Nous avons deux Batteurs imbattables.
– Arrête, Olivier, tu vas nous faire rougir, répondirent en choeur Fred et George Weasley. (PA8) - – Toi aussi, tu es très bon, dit George.
– Remarquable Gardien, approuva Fred. (PA8) - – Parfait, dit Fred qui était entré dans la salle derrière Harry. Il faut que j’aille faire un tour chez Zonko, je n’ai presque plus de boules puantes.
- – Calme-toi, Olivier ! dit Fred, un peu inquiet. Crois-moi, nous prenons l’équipe des Poufsouffle très au sérieux. Très au sérieux. (PA9)
- – Harry ! s’exclama Fred, le teint livide sous les taches de boue qui lui couvraient le visage. Comment tu te sens ? (PA9)
- – Où il est, Dubois ? demanda Harry qui venait de s’apercevoir de son absence.
– Toujours à la douche, répondit Fred. Je crois bien qu’il essaye de se noyer. (PA9) - – On reviendra te voir plus tard, dit Fred. Et ne te fais pas de bile, Harry, tu es toujours le meilleur Attrapeur qu’on ait jamais eu. (PA9)
- – On voulait te donner quelque chose d’amusant avant d’y aller, répondit Fred avec un clin d’oeil mystérieux. Viens voir…
[…] – Et c’est quoi, a ? demanda-t-il.
– Ceci, répondit George en tapotant le parchemin, c’est le secret de notre succès.
– On a du mal à s’en séparer, ajouta Fred, mais on s’est dit que tu en avais plus besoin que nous.
– De toute façon, on le connaît par coeur, dit George. Et on a décidé de te le léguer. Il ne nous sert plus à grand-chose, maintenant.
– Et à quoi ça peut m’être utile, ce vieux bout de parchemin ? demanda Harry.
– Ce vieux bout de parchemin ? s’exclama Fred avec une grimace, comme si Harry venait de l’offenser gravement. Explique-lui, George.
– Eh bien, voilà… Quand nous étions en première année, jeunes, insouciants, innocents…
Harry eut un petit rire. Il n’imaginait pas que Fred et George aient jamais pu être innocents.
– Disons, plus innocents qu’aujourd’hui, reprit George, nous avons eu un petit ennui avec Rusard.
– On avait fait exploser une Bombabouse dans le couloir et, pour une raison mystérieuse, a ne lui a pas plu du tout.
– Alors, il nous a traînés dans son bureau et il nous a menacés de l’habituelle…
-…retenue…
-…éventration…
[…] Cette petite merveille nous en a appris plus que tous les professeurs de l’école réunis. (PA10) - – Lunard, Queudver, Patmol et Cornedrue, nous vous devons beaucoup, soupira George en tapotant la carte. (PA10)
- ‘- Allons, Ron, souviens-toi, tu n’arrêtais pas de répéter que Croûtard était terriblement ennuyeux, dit Fred. Et ça fait une éternité qu’il était patraque, il était au bout du rouleau. C’est sans doute une bonne chose pour lui d’en avoir fini rapidement. Le chat n’a dû en faire qu’une bouchée. Il n’a sûrement rien senti.
– Fred ! s’indigna Ginny.
– Tout ce qu’il savait faire, c’était manger et dormir, tu l’as dit toi-même, Ron, ajouta George.
– Un jour, il nous a débarrassés de Goyle en le mordant ! répliqua Ron d’un air accablé. Tu te souviens, Harry ?
– C’est vrai, dit Harry.
– Son heure de gloire, dit Fred, incapable de garder son sérieux. Que la cicatrice sur le doigt de Goyle témoigne de cet acte de bravoure ! (PA13) - – Les Détraqueurs ne reviendront pas, Olivier. Dumbledore serait fou furieux, assura Fred. (PA13)
Harry Potter et la Coupe de Feu
- – Qu’est-ce qu’on fait tous là ? Il y a quelque chose qui ne va pas ?
– Mais si, tout va très bien, Ron, dit la voix de Fred d’un ton sarcastique, on n’aurait pas pu rêver mieux. (CF4) - – Alors, il en a mangé ? demanda Fred d’un ton surexcité en tendant une main à Harry pour l’aider à se relever.
– Oui, dit Harry. Qu’est-ce que c’était ?
– Des Pralines Longue Langue, répondit Fred d’un air satisfait. C’est George et moi qui les avons inventées. On a cherché quelqu’un tout l’été pour les essayer… (CF5) - – Ce n’était pas drôle du tout, Fred ! s’écria-t-il [Arthur]. Qu’est-ce que tu as donné à ce pauvre petit Moldu ?
– Je ne lui ai rien donné du tout, répondit Fred avec un sourire malicieux. J’ai simplement laissé tomber quelque chose… C’est sa faute s’il l’a mangé, je ne lui ai jamais dit de le faire.
[…] – Elle est devenue grande comment, sa langue ? demanda George, avide de savoir. (CF5) - – Ce n’est pas parce que c’est un Moldu qu’on a fait ça ! protesta Fred d’un ton indigné.
– Non, on l’a fait parce que c’est une grosse brute stupide, dit George. N’est-ce pas, Harry ? (CF5) - – Ça fait des années qu’on entend des explosions dans leur chambre, mais on n’avait jamais pensé qu’ils fabriquaient vraiment quelque chose, dit Ginny. On croyait qu’ils aimaient simplement faire du bruit. (CF5)
- – Oui, peut-être que tu trouverais encore de la bouse de dragon sur tes dossiers, hein, Perce ? lança Fred.
– Il s’agissait d’un échantillon d’engrais en provenance de Norvège ! répliqua Percy dont le teint était devenu écarlate. Ce n’était pas moi qui étais visé !
– Oh si, murmura Fred à Harry, alors qu’ils se levaient de table. C’est nous qui l’avions envoyée. (CF5) - – Où sont Bill, Charlie et Pe-e-e-e-e-e-ercy ? demanda George dans un très long bâillement qu’il lui fut impossible de retenir. (CF6)
- – Qu’est-ce que tu as dans ta poche ?
– Rien !
– Ne me mens pas !
Mrs Weasley pointa sa baguette magique.
[…] – Nous t’avions dit de les détruire ! s’exclama Mrs Weasley avec fureur […] (CF6) - – Amusez-vous bien, lança Mrs Weasley, et ne faites pas de bêtises, ajouta-t-elle dans le dos des jumeaux qui s’éloignèrent sans se retourner. (CF6)
- – On parie trente-sept Gallions, quinze Mornilles et trois Noises, dit Fred en rassemblant son argent avec George, que l’Irlande va gagner, mais que ce sera Viktor Krum qui attrapera le Vif d’or. Et on ajoute même une baguette farceuse.
[…] – Excellent ! Ça fait des années que je n’en avais pas vu d’aussi bien imitée. Je vous l’achète cinq Gallions ! (CF8) - – Tout le monde sait parler troll, dit Fred d’un air dédaigneux, il suffit de grogner en montrant du doigt. (CF8)
- – Oh, silence, Wistily, dit Fred. (CF8)
- – Ne dites pas à votre mère que vous avez parié de l’argent, implora Mr Weasley en s’adressant à Fred et à George, pendant qu’ils redescendaient l’escalier tous ensemble.
– Ne t’inquiète pas, papa, répondit Fred d’un ton ravi. On a de grands projets pour utiliser cet argent et on n’a pas du tout envie qu’il soit confisqué. (CF9) - – Vous n’avez rien eu ? murmura Mrs Weasley, affolée, en relâchant son mari puis en les regardant l’un après l’autre, les yeux rougis. Vous êtes tous vivants… Oh, mes enfants…
À la grande surprise de tout le monde, elle saisit Fred et George par le cou et les étreignit avec tant de force que leurs têtes se cognèrent l’une contre l’autre.
– Aïe ! Maman, tu nous étrangles…
– Je vous ai grondés quand vous êtes partis ! dit Mrs Weasley en se mettant à sangloter. Je n’ai pas cessé d’y penser ! Si Vous-Savez-Qui vous avait fait du mal alors que la dernière chose que je vous ai dite, c’est que vous n’aviez pas eu assez de B.U.S.E…. Oh, Fred… George… (CF10) - – Qu’est-ce que vous fabriquez, tous les deux ? dit sèchement Mrs Weasley, en fixant les jumeaux.
– On fait nos devoirs, répondit Fred d’un air vague.
– Ne sois pas ridicule. Vous êtes encore en vacances, répliqua Mrs Weasley.
– On avait pris un peu de retard, dit George.
[…] – Écoute, maman, répondit Fred en levant vers elle un regard attristé. Si demain, le Poudlard Express déraille et qu’on est tués tous les deux, George et moi, imagine dans quel état tu seras en pensant que, la dernière fois que tu nous as adressé la parole, c’était pour nous accuser injustement ?
Tout le monde éclata de rire, même Mrs Weasley. (CF10) - […] J’ai le très grand plaisir de vous annoncer que le Tournoi des Trois Sorciers se déroulera cette année à Poudlard.
– Vous PLAISANTEZ ! s’exclama Fred Weasley. (CF12) - – Moi, je me lance ! chuchota Fred Weasley, enthousiasmé par la perspective de tant de gloire et de richesses. (CF12)
- – Comment c’était ? demanda avidement Harry.
– Fred, George et Lee échangèrent des regards éloquents.
– On n’a jamais eu un cours comme ça. dit Fred. (CF13) - – Qu’est-ce qui est pénible ? demanda Ron à George.
– D’avoir un idiot de frère qui se mêle de tout, répliqua George. (CF15) - – Eh bien, nous, on y est allés, dit George. Et même très souvent pour y voler des choses à manger. On les a rencontrés, les elfes, et crois-moi, ils sont très heureux. Ils sont même convaincus qu’ils font le plus beau métier du monde… (CF15)
- – Une Limite d’Age ! dit Fred, les yeux étincelants, tandis que la foule des élèves se dirigeait vers le hall d’entrée. Il devrait suffire d’une potion de Vieillissement pour arriver à la franchir, non ? Et une fois que ton nom est dans la Coupe, comment savoir si tu as dix-sept ans ou pas ? (CF16)
- – Prêt ? dit Fred aux deux autres qui frémissaient d’excitation. Allons-y, je passe le premier.
[…}
Pendant une fraction de seconde, Harry crut qu’il avait réussi – George en était sûrement convaincu car il poussa un cri de triomphe et sauta par-dessus la ligne à la suite de Fred – mais un instant plus tard, il y eut une sorte de grésillement et les jumeaux furent rejetés hors du cercle comme s’ils avaient été catapultés par un invisible lanceur de poids. (CF16) - Ron :– On ferait peut-être bien de descendre faire la fête en ton honneur, Harry. Fred et George ont dû rapporter des tas de choses de la cuisine, l’heure qu’il est. (CF21)
- – Ne raconte pas de bêtises, Neville, c’est illégal, dit George. Ils n’utiliseraient jamais un sortilège Doloris contre les champions. Moi, a m’a un peu rappelé la façon de chanter de Percy… Tu devras peut-être l’attaquer pendant qu’il prend sa douche, Harry. (CF21)
- – Tu as l’intention d’encourager les elfes de maison à faire grève ? demanda George. Tu vas leur distribuer des tracts et les inciter à la rébellion ? (CF21)
- – Crèmes Canari ! annonça Fred à ses camarades de Gryffondor. C’est George et moi qui les avons inventées. Sept Mornilles pièce, une affaire ! (CF21)
- […] Il [Ron] posa les deux dernières cartes sur le château qui explosa en lui brûlant les sourcils.
– Bravo, Ron, tu es très bien comme ça… Ça ira à merveille avec ta tenue de soirée !
[…] – Parce qu’on veut envoyer une lettre, espèce de sombre idiot, dit George.
– A qui vous écrivez comme ça, tous les deux ? demanda Ron.
– Ne mets pas ton nez dans nos affaires, sinon je te le brûle aussi, répliqua Fred en brandissant sa baguette magique d’un air menaçant. (CF22) - – Et vous, vous serez avec qui ?
– Angelina, dit aussitôt Fred, sans la moindre gêne.
– Quoi ? s’exclama Ron. Tu lui as déjà demandé ?
– Tiens, tu fais bien de me le rappeler, répondit Fred. Il se retourna et s’écria :
– Oh, Angelina !
Angelina, qui bavardait près de la cheminée avec Alicia Spinnet, leva les yeux vers lui.
– Quoi ? demanda-t-elle.
– Tu veux venir avec moi au bal ?
Angelina observa Fred comme si elle le jaugeait du regard.
– D’accord, dit-elle, puis elle reprit sa conversation avec Alicia, un petit sourire aux lèvres.
– Et voilà, dit Fred. Ce n’est pas plus difficile que ça. (CF22) - – Bonjour, Mr Verpey, lança Fred d’une voix claironnante. Nous permettrez-vous de vous offrir un verre ?
– Heu… non, répondit Ludo Verpey en jetant un regard déçu à Harry. Non, merci, mes amis… (CF24) - – On a essayé d’être polis, maintenant, on va être beaucoup plus méchants, comme lui. Il n’aimerait sûrement pas que le ministère de la Magie soit au courant de ce qu’il a fait.
– Je te dis que si tu mets ça par écrit, c’est du chantage ! (CF29) - George :– Ron, ajouta-t-il, tu commences à parler comme ton frère aîné. Continue comme ça et tu finiras préfet. (CF29)
- – ‘On s’est dit qu’on ferait bien de venir voir ce que mijotaient ces trois-là, lança Fred d’un ton dégagé.
Sa baguette magique à la main, il entra dans le compartiment en marchant sur Goyle. George, lui aussi, avait sorti sa baguette. Il suivit Fred et prit bien soin de piétiner Malefoy au passage.
– Intéressant, comme résultat, dit George en regardant Crabbe. Qui est-ce qui a lancé le sortilège de Furonculose ?
– Moi, dit Harry.
– Étrange, dit George d’un ton léger, moi, j’ai utilisé un maléfice de Jambencoton. Apparemment, il vaut mieux ne pas les mélanger. (CF37) - – Prenez-le, dit-il en fourrant le sac dans les mains de George.
– Quoi ? s’exclama Fred, abasourdi.
– Prenez-le, répéta Harry d’un ton décidé. Je n’en veux pas.
– Tu es cinglé, répliqua George en essayant de lui rendre le sac.
– Non, pas du tout, assura Harry. Vous le prenez et vous continuez vos inventions. C’est pour le magasin de farces et attrapes.
– Il est vraiment cinglé, dit Fred d’une voix presque effrayée.
[…] – Harry… Merci, murmura George.
À côté de lui, Fred approuva avec des signes de tête frénétiques. (CF37)
Harry Potter et la Coupe de Feu
- – Fred et George ont inventé les oreilles à Rallonge, dit Ron. (OP4)
- – Salut, Harry, dit George avec un grand sourire. Il nous avait semblé entendre ta voix douce et mélodieuse.
– Il ne faut pas réprimer ta colère comme ça, Harry, laisse-la s’exprimer, dit Fred avec le même sourire. Sinon, il y a peut-être deux ou trois personnes dans un rayon de cinquante kilomètres qui risquent de ne pas t’entendre.
– On dirait que vous avez réussi vos examens de transplanage, tous les deux, remarqua Harry d’un ton grincheux.
– Avec mention, précisa George. (OP4) - À propos de Rogue : – Sale bonhomme, dit Fred d’un ton nonchalant. (OP4)
- – On en a tous assez de lui, déclara George avec une expression hostile qui ne lui était pas familière. (OP4)
- – POUR L’AMOUR DU CIEL ! hurla Mrs Weasley. VOUS N’AVIEZ PAS BESOIN DE FAIRE CA ! JE COMMENCE A EN AVOIR ASSEZ ! CE N’EST PAS PARCE QU’ON VOUS A DONNÉ LE DROIT D’UTILISER LA MAGIE QUE VOUS DEVEZ SORTIR VOS BAGUETTES A LA MOINDRE OCCASION !
– Nous voulions simplement gagner un peu de temps ! répliqua Fred en se précipitant pour arracher le couteau à pain de la table. (OP5) - – Aucun de vos frères ne m’a jamais causé autant d’ennuis ! s’emporta Mrs Weasley… (OP5)
- – Molly, tu ne peux pas empêcher Fred et George de rester, dit Mrs Weasley d’un ton las. Ils sont majeurs. (OP5)
- – La puissance ne dépend pas de la taille, ajouta George. Regarde Ginny, par exemple.
– Qu’est-ce que tu veux dire ? s’étonna Harry.
– Tu ne t’es jamais pris sur la figure un de ses maléfices de Chauve-Furie ? (OP6) - – D’ac ! dit-il d’une voix claironnante en envoyant à la créature un jet en pleine tête.
Mais dès que Mrs Weasley eut le dos tourné, il le glissa rapidement dans sa poche avec un clin d’oeil à Harry.
– On veut faire des expériences avec du venin de Doxy pour nos boîtes à Flemme, expliqua George à voix basse. (OP6) - – Les cobayes ?
– Nous, précisa Fred. Nous faisons ça à tour de rôle. George a essayé les petits-fours Tourndeloeil et nous avons expérimenté tous les deux le nougat Néansang.
– Maman croyait que nous nous étions battus en duel, dit George. (OP6) - – J’aime beaucoup entendre maman hurler contre quelqu’un d’autre, dit Fred avec un sourire satisfait. (OP6)
- Kreattur :– Et voilà son jumeau, des sales bêtes contre nature, ces deux-là. (OP6)
- Mrs Weasley s’essuyait le visage avec son tablier et Fred, George et Ginny exécutaient une sorte de danse guerrière en scandant :
– Il s’en est tiré, il s’en est tiré, il s’en est tiré ! (OP9) - – Préfet ? dit-il [Fred] en contemplant la lettre d’un air incrédule. Préfet ?
[…] – Pas possible, dit George d’une voix étouffée.
– Il y a eu erreur, dit Fred. (OP9) - – Ouais, répondit Fred d’une voix lente. Ouais, tu as causé trop d’ennuis, mon vieux. Enfin, il y en a au moins un de vous qui sait où sont ses priorités.
Il s’approcha de Harry et lui donna une claque dans le dos tandis qu’il foudroyait Ron du regard. (OP9) - – Je n’arrive pas à le croire ! Je n’arrive pas à le croire ! Oh, Ron, c’est tellement merveilleux ! Un préfet ! Tout le monde l’a été dans la famille !
– Et Fred et moi, on est qui ? Des voisins de pallier ? s’indigna George. (OP9) - – Il va falloir qu’on surveille notre conduite, George, dit Fred qui faisait mine de trembler. Avec ces deux-là pour nous surveiller…
– Oui, j’ai bien peur que la belle époque où on se fichait du règlement soit terminée, dit George avec un hochement de tête. (OP9) - Ron : […] Ils ont toujours dit qu’il n’y a que les imbéciles qui deviennent préfets […] (OP9)
- DES GALLIONS A FOISON
Votre argent de poche n’arrive pas à suivre vos dépenses ?
Un peu d’or en plus serait le bienvenu ?
N’hésitez pas à prendre contact
avec Fred et George Weasley, pièce commune
de Gryffondor, pour petits travaux à temps partiel,
simples et quasiment sans douleur.
(Nous avons le regret de préciser que les candidats
devront agir à leurs risques et périls.)
– Ils dépassent vraiment les bornes ! dit Hermione d’un air sombre… (OP12) - – Parce que c’est l’année des B.U.S.E., répondit George.
– Et alors ?
– Alors, il va falloir préparer tes examens et tu passeras tellement de temps le nez collé à ton labeur que tu finiras par avoir la chair à vif, expliqua Fred d’un air satisfait.
– La moitié de notre classe est tombée en dépression à l’approche des examens, dit George d’un ton joyeux. Larmes, sanglots, crises de nerfs… Patricia Stimpson était sans cesse au bord de l’évanouissement…
– Kenneth Towler était couvert de furoncles, tu te souviens ? rappela Fred.
– Ca, c’est parce que tu avais mis de la poudre de Bulbonox dans son pyjama, fit remarquer George.
– Ah oui, c’est vrai, j’avais oublié, dit Fred avec un grand sourire. on a parfois des trous de mémoire… (OP12) - Fred : […] Mais nous avons la très nette impression que notre avenir se situe dans un autre monde que celui des performances académiques. (OP12)
- – Ce n’est PAS parfait du tout !
– Bien sûr que si, ils sont vivants, non ? protesta Fred avec colère. (OP13) - Hermione a pris les jumeaux la main dans le sac : […] mais je vais écrire à votre mère.
– Tu ne ferais pas ça, dit George, horrifié, en reculant d’un pas. (OP13) - Ron :– Fred et George vont s’effondrer de rire quand ils me verront arriver pour les essais. (OP13)
- – Alors les meilleures notes, disait-elle, c’est O pour Optimal et ensuite A…
– Non, E, rectifia George. E pour “effort exceptionnel”. D’ailleurs, j’ai toujours pensé que Fred et moi aurions dû avoir un E dans toutes les matières parce que le simple fait de nos présenter aux examens constituait en soi un effort exceptionnel. (OP15) - – Écoute, sois gentil et contrôle tes nerfs avec Ombrage, aujourd’hui, d’accord ? dit George. Angelina va devenir cinglée si jamais tu rates encore une séance d’entraînement. (OP15)
- – Tu veux qu’on se charge de te laver les oreilles ? demanda George en sortant d’un des sacs de Zonko un long instrument de métal à l’aspect meurtrier.
– Ou n’importe quelle autre partie de ton corps, nous on n’est pas difficile, on veut bien te coller ça où tu voudras, ajouta Fred. (OP16) - – En fait, je ne comprends pas pourquoi Fred et George n’ont obtenu que trois B.U.S.E. chacun, dit Harry en les regardant collecter l’or de la foule avide. Ils savent pourtant faire plein de choses. (OP17)
- – Mais ça provoque aussi d’énormes furoncles, ajouta George, et on n’a pas encore trouvé le moyen de s’en débarrasser.
– Je ne vois aucun furoncle, dit Ron en les regardant attentivement.
– Non, bien sûr, répondit Fred d’un air sombre. Ils se trouvent à un endroit qu’on ne montre généralement pas en public. (OP18) - Harry ne se rendit même pas compte qu’il lâchait George, tout ce qu’il savait, c’était qu’un instant plus tard, tous deux s’étaient précipités sur Malefoy. Il avait complètement oublié que les professeurs le regardaient. Pour lui, la seule chose importante à présent était de faire mal à Malefoy, de lui infliger la plus grande douleur possible. Sans prendre le temps de sortir sa baguette magique, il le frappa violemment au ventre. Son poinf qui tenait encore le Vif d’or s’enfonça dans l’estomac de Malefoy.
– Harry ! HARRY ! GEORGE ! NON ! (OP19) - – Ce n’est pas ma faute si je n’ai rien fait, assura Fred avec une expression redoutable sur le visage. Si vous ne m’aviez pas retenu, toutes les trois, j’aurais réduit ce petit fumier en charpie. (OP19)
- – Bien sûr que si. On va à Ste Mangouste si on a envie d’y aller, dit Fred avec une expression butée. C’est notre père ! (OP22)
- On s’en fiche complètement de cette idiotie d’Ordre ! s’exclama Fred.
– Tout ce qui compte, c’est que papa est en train de mourir ! s’écria George. (OP22) - – Tu étais chargé de la garder, c’est ça ? dit George à mi-voix. L’arme ? Celle que Tu-Sais-Qui essaye de se procurer ? (OP22)
- – Qu’est-ce que ça représente ? demanda Fred, le regard fixé sur le tableau de Dobby. On dirait un gibbon avec deux gros yeux noirs.
– C’est Harry ! s’exclama George en montrant le dos de l’image. C’est écrit derrière !
– Très ressemblant, commenta Fred avec un sourire. (OP23) - – Le Chapeau-sans-Tête ! annonça George…
[…] – Comment fonctionnent ces chapeaux ? se demande Hermione à haute voix.
Distraite à ses devoirs, elle regardait Fred et George.
– De toute évidence, il s’agit d’un sortilège d’Invisibilité mais c’est assez habile d’avoir réussi à en étendre le champ au-delà de l’objet ensorcelé… (OP24) - Fred : […] De toute façon on a décidé qu’on s’en fiche désormais de s’attirer des ennuis.
– Parce qu’avant, vous ne vous en fichiez pas ? demanda Hermione.
– Non, bien sûr, dit George. La preuve, on ne s’est jamais fait renvoyer.
– On a toujours su où était la limite, dit Fred.
– On a peut-être posé un orteil dessus, l’occasion George.
– Mais nous ne sommes jamais allés jusqu’au vrai grand chambardement, dit Fred.
– Et maintenant ? demanda Ron d’un ton hésitant.
– Et bien, maintenant… dit George.
-… après le départ de Dumbledore…, ajouta Fred.
-… nous avons pensé que notre nouvelle directrice…, reprit George.
-… méritait bien un peu de chambardement. (OP28) - George : […] J’espère qu’elle va essayer le sortilège de Disparition, la prochaine fois… Ca les multiplie par dix. (OP27)
- Ombrage : […] Vous deux, ajouta-t-elle en regardant Fred et George, vous allez voir ce qui arrive dans mon école aux canailles de votre espèce.
– Eh bien, moi, je crois qu’on ne va rien voir du tout, répliqua Fred.
Il se tourna vers son frère jumeau.
– George, dit-il, je pense que nous n’avons plus l’âge de faire des études à plein temps.
– Oui, c’est bien ce qu’il me semblait, répondit George d’un ton léger.
– Le moment est venu d’exercer nos talents dans le monde réel, tu ne crois pas ? reprit Fred.
– Sans aucun doute, approuva son frère.
Et avant que le professeur Ombrage ait pu dire un mot, ils levèrent leurs baguettes et s’écrièrent d’une même voix :
– Accio balais !
[…] – Au plaisir de ne plus vous revoir, dit Fred au professeur Ombrage en passant une jambe par-dessus le manche de son balai.
– Oui, ne vous donnez pas la peine de prendre de nos nouvelles, ajouta George qui enfourcha également le sien.
Fred jeta un regard circulaire aux élèves rassemblés en une foule attentive et silencieuse.
– Si quelqu’un a envie d’acheter un Marécage Portable semblable à celui dont nous avons fait la démonstration là-haut, rendez-vous au 93, Chemin de Traverse, chez Wealsey, Farces pour sorciers facétieux, dit-il d’une voix sonore. Nos nouveaux locaux !
– Réduction spéciale pour les élèves de Poudlard qui jurent d’utiliser nos produits pour se débarrasser de cette vieille grenouille, ajouta George en montrant du doigt le professeur Ombrage
– ARRÊTEZ-LES ! hurla Ombrage d’une voix suraiguë.
Mais il était trop tard. Tandis que la brigade inquisitoriale s’avançait vers eux, Fred et George décollèrent d’un coup de pied et firent un bond de cinq mètres dans les airs, le piton de fer se balançant dangereusement sous leurs balais, Fred se retourna vers l’esprit frappeur qui voletait à sa hauteur au-dessus de la foule.
– Rends-lui la vie infernale à cette vieille folle, Peeves, lança-t-il.
Et Peeves, que Harry n’avait encore jamais vu obéir à l’ordre d’un élève, ôta de sa tête son chapeau en forme de cloche et se mit au garde-à-vous devant Fred et George qui firent demi-tour sous les applaudissements nourris de la foule avant de s’élancer au-dehors dans le ciel étincelant du crépuscule. (OP29) - Harry entendait souvent des propos du genre : “Franchement, certains jours, j’ai envie de sauter sur mon balai et de quitter cet endroit”, ou bien : “Encore un cours comme celui-là et je file façon Weasley.” (OP30)