Citations…
Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban
- “À ce moment-là, le Professeur Lupin t’a enjambé, il s’est avancé vers le Détraqueur, et il a sorti sa baguette magique, poursuivit Hermione. Et puis il lui a dit : “Personne dans ce compartiment ne cache Sirius Black sous sa cape. Allez-vous-en.” Mais le Détraqueur n’a pas bougé, alors Lupin a marmonné quelque chose, un truc argenté est sorti de sa baguette et le Détraqueur a fait volte-face et il est parti comme s’il glissait sur des patins…” (PA5)
- Madame Pomfresh :“Il faudrait au moins lui donner du chocolat.”
“J’en ai déjà eu. Le professeur Lupin m’en a donné.”
“Ah, très bien. Nous avons enfin un professeur de Défense contre les forces du Mal qui connaît les bons remèdes.” (PA5) - Rogue à Lupin :“On ne vous a peut-être pas averti, Lupin, mais il y a dans cette classe un nomme Neville Londubat et je vous conseille vivement de lui épargner tout exercice difficile. Sauf si Miss Granger est là pour lui souffler ce qu’il faut faire.” […]
Lupin haussa les sourcils.
“J’espérais que Neville m’aiderait à réaliser la première partie de l’expérience, dit-il, et je suis sûr qu’il s’en tirera à merveille.” (PA7) - Harry : “C’est vrai qu’au début, j’ai pensé à Voldemort, répondit Harry, mais ensuite… Je me suis souvenu du Détraqueur.”
“Je comprends, dit Lupin, l’air pensif. Je suis très impressionné. Voilà qui voudrait dire que ce dont vous avez le plus peur, c’est… la peur elle-même. C’est la preuve d’une grande sagesse, Harry. (PA8) - “Je ne me sentais pas très bien, ces temps-ci. Cette potion est le seul remède efficace.” (PA8)
- “Les Détraqueurs comptent parmi les plus répugnantes créatures qu’on puisse trouver à la surface de la terre. Ils infestent les lieux les plus sombres, les plus immondes, ils jouissent de la pourriture et du désespoir, ils vident de toute paix, de tout espoir, de tout bonheur, l’air qui les entoure. Même les Moldus sentent leur présence, bien qu’ils ne puissent pas les voir.” (PA10)
- “Quand ils sont près de moi…” Harry s’interrompit, le regard fixé sur le bureau de Lupin. “… j’entends Voldemort qui tue ma mère.”
Lupin amorça un mouvement comme pour prendre Harry par l’épaule, mais il se ravisa. (PA10) - À propos du Baiser du Détraqueur : “Oh, non, répondit Lupin. C’est bien pire que ça. On peut continuer à exister sans son âme, tant que le coeur et le cerveau fonctionne. Mais on n’a plus aucune conscience de soi, plus de mémoire, plus… rien. Et plus aucune chance de guérison. On existe, c’est tout. Comme une coquille vide. L’âme, elle, s’est définitivement envolée, elle est perdue à jamais.” (PA12)
- À propos de la carte du Maraudeur : “[Déborde] de magie noire ? Vous croyez vraiment, Severus ? À mon avis, c’est tout simplement un morceau de parchemin qui insulte quiconque essaye de le lire. Puéril, mais certainement pas dangereux.” (PA14)
- “Vos parents ont donné leur vie pour sauver la vôtre, Harry. Vous avez une drôle de façon de leur exprimer votre gratitude… Prendre le risque de réduire à néant leur sacrifice pour le simple plaisir d’aller acheter un sac de farces et attrapes…” (PA14)
- “D’habitude, vous êtes plus brillante que ça, Hermione. Là, vous n’avez qu’une seule bonne réponse sur trois. Je n’ai pas aidé Sirius à pénétrer dans le château et je n’ai pas la moindre intention de tuer Harry…”
Un étrange frisson agita son visage.
“En revanche, reprit-il, je reconnais que je suis un loup-garou.” (PA17) - “J’étais encore un petit garçon quand j’ai été mordu. Mes parents ont tout essayé, mais à l’époque, il n’existait pas de traitement.” (PA18)
- “Mais à cette époque, Dumbledore devint directeur de l’école et il éprouva pour moi de la compassion. Il assura qu’en prenant certaines précautions, il n’y avait pas de raisons que je ne puisse pas faire mes études normalement…” (PA18)
- “À cette époque, mes transformations étaient… étaient épouvantables. C’est très douloureux de se transformer en loup-garou. Je ne pouvais mordre personne, puisque j’étais seul, je me mordais donc moi-même. Les villageois entendaient le bruit que je faisais, les hurlements que je poussais et ils pensaient qu’il s’agissait de fantômes particulièrement agressifs. (PA18)
- “Il ne me l’aurait pas dit s’il pensait que c’était moi, l’espion, fit remarquer Lupin. C’est bien pour cette raison que tu ne m’as rien dit, Sirius ?”, demanda-t-il.
“Pardonne-moi”, répondit Black.
“Bien sûr, Patmol, mon vieil ami, dit Lupin qui était en train de relever ses manches. Et toi, tu me pardonnes d’avoir cru que c’était toi, l’espion ?”
“Evidemment”, répondit Black.
Et l’ombre d’un sourire passa sur son visage. Lui aussi releva ses manches.
“On le tue ensemble ?” (PA19) - “Tu aurais dû comprendre, dit Lupin d’une voix paisible, que si Voldemort ne te tuait pas, c’est nous qui le ferions. Adieu, Peter.” (PA19)
Harry Potter et l’Ordre du Phénix
- Deux tables plus loin – Harry éprouva à nouveau un sursaut de plaisir -, il reconnut Remus Lupin. Il paraissait pâle et faible (la pleine lune approchait-elle ?) et semblait absorbé dans sa copie d’examen. Les sourcils légèrement froncés, il relisait ses réponses en se grattant le menton avec le bout de sa plume. (OP28)
- “Ca t’a plu, la question dix, Lunard ?” demanda Sirius tandis qu’ils arrivaient dans le hall d’entrée.
“J’ai adoré, répondit vivement Lupin. Donnez cinq signes permettant d’identifier un loup-garou. Excellente question.”
“Tu crois que tu as réussi à les trouver tous ?” demanda James d’un ton faussement inquiet.
“Je pense que oui”, répondit Lupin très sérieusement. […] “Premier signe : il est assis sur ma chaise. Deuxième signe : il porte mes vêtements. Troisième signe : il s’appelle Remus Lupin.” (OP28) - Le pire souvenir de Rogue : “Tiens, voilà de quoi t’amuser un peu, Patmol, dit James à voix basse. Regarde qui est là…”
“Parfait, murmura-t-il. Servilus
Harry se retourna pour suivre le regard de Sirius.
Rogue s’était relevé et rangeait le questionnaire des B.U.S.E. dans son sac. Lorsqu’il quitta l’ombre des buissons et s’éloigna sur la pelouse, Sirius et James se levèrent à leur tour.
Lupin et Queudver restèrent assis. Lupin était toujours plongé dans son livre mais ses yeux restaient immobiles et une légère ride état apparue entre ses sourcils. Queudver regarda successivement Sirius et James, puis Rogue, une expression d’avidité sur le visage.(OP28) - Lupin : “Je ne voudrais pas que tu juges ton père d’après ce que tu as vu là-bas, Harry. Il n’avait que quinze ans…”
“Moi aussi, j’ai quinze ans”, répliqua vivement Harry.
“Ecoute, dit Sirius d’un ton apaisant, James et Rogue se sont haïs dès l’instant où ils se sont vus. Ce sont des choses qui arrivent, tu peux le comprendre, non ? Je crois que James représentait pour Rogue tout ce qu’il aurait voulu être – il était aimé de tout le monde, très doué pour le Quidditch – d’ailleurs, il était doué à peu près en tout. Rogue, lui, était ce petit personnage bizarre, plongé jusqu’aux yeux dans la magie noire, et James – quelle que soit la façon dont il t’est apparu, Harry – a toujours détesté la magie noire.” (OP29) - “Et puis aussi, insista Harry, décidé à dire tout ce qu’il avait sur le coeur maintenant qu’il avait commencé, il n’arrêtait pas de jeter des coups d’d’oeil vers les filles assises au bord du lac en espérant qu’elles le regardaient !”
“Oh, il se rendait toujours ridicule quand Lily était dans le coin, répondit Sirius en haussant les épaules. Il ne pouvait s’empêcher de faire le malin chaque fois qu’il se trouvait près d’elle.”
“Comment se fait-il qu’elle l’ait épousé ? demanda Harry d’une petite voix. Elle le haïssait !”
“Non, pas du tout”, assura Sirius.
“Elle a commencé à sortir avec lui en septième année”, dit Lupin.
“Quand la tête de James s’est un peu dégonflée”, ajouta Sirius.
“Et qu’il a cessé de jeter des maléfices aux autres simplement pour s’amuser”. (OP29) - Lupin :“Tu ne peux rien faire, Harry… Rien… C’est fini pour lui.” (OP35)